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Et si c’était une femme ?

Dans un monde politique où les postures l’emportent souvent sur la sincérité, rares sont les figures qui, au fil des années, résistent aux vents contraires sans se renier.


Marine Le Pen est de celles-là. Une femme de convictions, de courage, d’ancrage populaire. Une femme que l’on a trop souvent caricaturée, diabolisée, réduite à son patronyme, alors même qu’elle s’est battue pour tracer son propre chemin, avec ténacité et lucidité.


Marine Le Pen aime les Français. Ce n’est pas une formule, mais un fait observable : elle les connaît, les écoute, les comprend.

Elle parle le langage de ceux qui n’ont pas fait Sciences Po, mais qui se lèvent tôt, vivent dans les territoires oubliés, et qui, trop souvent, ne se sentent plus représentés par les élites parisiennes.

Elle défend ces invisibles avec constance, même lorsqu’il était impopulaire de le faire.


Son parcours politique force le respect. Trois fois candidate à l’élection présidentielle, toujours présente au second tour, elle n’a jamais cédé à la facilité. Elle a transformé son parti, affronté les tempêtes internes, résisté aux procès d’intention, et su imposer une voix singulière dans le débat public. Non pas une voix de colère, mais une voix d’ordre, de souveraineté, de retour au réel.


La France est-elle prête pour une femme présidente ?


C’est une question qu’on n’ose à peine poser tant elle dérange : la France est-elle prête à confier son destin à une femme ?


Car derrière l’image républicaine d’un pays progressiste et égalitaire, notre nation a souvent peiné à accorder aux femmes la place qu’elles méritent dans la sphère politique.


La France est la patrie des droits de l’homme, mais elle fut l’un des derniers pays d’Europe à accorder le droit de vote aux femmes.

Elle a vu naître Simone Veil, Christiane Taubira, Michèle Alliot-Marie, Édith Cresson ou Ségolène Royal, mais aucune n’a jamais eu les clés de l’Élysée.


Ce plafond de verre, bien plus politique que culturel, semble tenace. Comme si, au fond, la figure de l’autorité suprême devait encore, dans l’imaginaire collectif, être un homme. On entend parfois dire : “Elle n’a pas l’étoffe”, “Elle est trop clivante”, “Ce n’est pas le moment”... des arguments qu’on n’oserait jamais appliquer à leurs homologues masculins.


Et pourtant. La France est gouvernée par des femmes au quotidien : dans les mairies, les entreprises, les associations, les exploitations agricoles, les foyers. Elles sont les piliers silencieux du pays, souvent plus résilientes, plus concrètes, plus proches du réel que nombre de politiciens de métier.


Alors pourquoi pas à la tête de l’État ?

Pourquoi refuser à Marine Le Pen ce que d’autres femmes ont conquis ailleurs : Giorgia Meloni en Italie, Kaja Kallas en Estonie, ou encore Margaret Thatcher en son temps ?

La question n’est plus celle du genre. Elle est celle de la capacité, de la vision, de la constance. Et Marine Le Pen a prouvé, bien davantage que certains présidents sortants, qu’elle coche toutes ces cases.


Et si c’était elle, notre future présidente ?

Et si, au moment où tant de Français doutent, s’abstiennent ou se résignent, une femme parvenait à incarner ce que des hommes ont depuis longtemps perdu : le courage de dire non, la force de proposer autrement, et la sincérité d’une vision enracinée dans l’amour du pays ?


Cette question n’est plus taboue. Elle traverse les esprits, y compris de ceux qui, hier encore, n’osaient pas l’envisager. Marine Le Pen n’est pas parfaite. Mais qui le serait, face à l’immense tâche de redresser une nation fracturée, appauvrie, parfois humiliée ?


Elle est prête. Prête parce qu’elle n’a jamais fui. Prête parce que, depuis vingt ans, elle n’a cessé de se battre. Prête, peut-être, à devenir la première femme présidente de la République française.


Et si c’était une femme ?


Et si, enfin, la France se donnait le droit d’écrire une autre page de son histoire avec une femme debout, au service de son peuple, fidèle à ses valeurs ?

 
 
 

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