COMMUNIQUÉ DE PRESSE
- naoualhamzaouinh
- 16 févr.
- 3 min de lecture
Dernière mise à jour : 17 févr.
A, Quelque part dans le Sud Ouest, le 15 février 2025
Face à l’attaque injustifiée de la Commission européenne contre la chasse traditionnelle à la palombe, une plainte a été déposée pour dénoncer cet acharnement idéologique et cette violation du respect des traditions culturelles. En parallèle, une pétition citoyenne en soutien à la chasse traditionnelle a déjà dépassé les 4 000 signatures en moins de deux jours, preuve d’un attachement profond à ce patrimoine rural.
La Commission européenne a récemment décidé de saisir la Cour de justice de l’Union européenne contre la France, estimant que l’utilisation des filets verticaux et horizontaux pour la capture de la palombe ne respectait pas la directive « Oiseaux » (2009/147/CE). Or, cette directive ne prend aucunement en compte la dimension culturelle et patrimoniale de la chasse traditionnelle, pratiquée bien avant 2009. La chasse à la palombe au filet s’inscrit dans une transmission de savoir-faire ancestraux et bénéficie d’un encadrement strict garantissant son hyper-sélectivité et son impact limité sur la biodiversité.
Il est inconcevable que la Commission européenne attaque la France en justice pour une pratique qui relève de son patrimoine et de ses traditions. Cette ingérence dans les usages locaux est une atteinte à la souveraineté nationale et à la diversité culturelle des États membres.
La directive européenne prévoit des dérogations pour certaines pratiques de chasse lorsqu’elles relèvent d’un usage traditionnel, encadré et durable. La chasse de la palombe au filet répond pleinement à ces critères et n’a jamais mis en péril les populations d’oiseaux, dont les effectifs sont en constante augmentation. En France, la palombe est même classée comme une espèce susceptible d’occasionner des dégâts (ESOD) dans plusieurs départements.
Cette attaque de la Commission européenne contre la chasse traditionnelle repose donc sur une vision dogmatique et déconnectée des réalités du terrain. Elle traduit une méconnaissance des pratiques cynégétiques et de leur rôle dans la gestion des écosystèmes ruraux.
De nombreux élus ont été sollicités par mail par le cabinet Terragora, en particulier ceux ayant un lien direct avec les paloumayres.
En réponse à cette injustice, une plainte officielle a été déposée contre la Commission européenne. De plus, une vague de mobilisation s’est enclenchée, rassemblant chasseurs, élus et citoyens concernés par la défense de la ruralité.
La pétition, qui a déjà franchi les 4 000 signatures en moins de deux jours, témoigne de cette indignation collective face à l’ingérence de Bruxelles dans les traditions locales. https://chng.it/JY6P6jV6FZ
J'appelle tous les acteurs du monde rural à se mobiliser et à faire entendre leur voix. La préservation de nos traditions cynégétiques est un enjeu majeur pour le respect de notre culture et de nos territoires.
Pour nos valeurs et nos modes de vie !
Je tiens à remercier chaleureusement Marlène Cabé, présidente des Dianes des Landes, de m'avoir fait découvrir cet héritage culturel que sont les palombières. Son engagement en faveur des traditions cynégétiques est une source d'inspiration.
Je souhaite également exprimer toute ma gratitude à Mr. Lescourèges pour son dévouement et son soutien indéfectible dans mes démarches. Sa contribution précieuse et son engagement en faveur de la chasse traditionnelle méritent d'être salués.

Et comme on dit, quelque part dans le Sud Ouest : Adishatz !
Naoual Hamzaoui
Représentante de Terragora
Terragora Enregistré dans le registre de transparence de l'UE sous le numéro : 964979395946-68
60 rue François 1er, 75008 Paris
Contact presse :
Naoual Hamzaoui
06 58 10 68 72





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